Vous avez pour projet de faire tout ou partie de vos études à l’étranger ? Excellent choix ! Mais il ne suffit pas toujours de le vouloir pour le pouvoir. En effet, de nombreux établissements exigent un niveau académique et linguistique minimum et certaines motivations, pour être sûr que l’expérience ne se transforme pas en échec. Nous faisons le point pour vous. Le niveau linguistique Qu’il soit anglophone, hispanophone ou de langue allemande, tout établissement étranger cherchera à vérifier que vous avez des bases suffisamment solides pour pouvoir suivre les cours dans une langue qui n’est pas la vôtre. Voilà pourquoi beaucoup exigent des candidats qu’ils passent un test standardisé (TOEFL, IELTS, examens Cambridge English comme Advanced, ZMP, DELE, TOEIC, etc.) et atteignent un score minimum. Certes, c’est contraignant, mais c’est le meilleur moyen de ne pas vous envoyer au casse-pipe. La première chose à faire est de vous renseigner suffisamment tôt auprès de l’établissement visé sur le type de test et le score exigé afin de vous y préparer et de pouvoir le passer autant de fois que nécessaire. Surtout, vous devez vous préparer sérieusement au test, en étant au clair sur les différents exercices, en vous entraînant grâce à des ouvrages, et en cherchant tous les moyens d’améliorer votre niveau. Ainsi aux Etats-Unis, les universités demandent un score moyen de 80 points au TOEFL (sur 120), les plus prestigieuses pouvant monter jusqu’à 100. Pour l’IELTS, il faut atteindre au minimum le niveau 7 pour chaque partie. Ne pas atteindre ce niveau, n’est pas une raison pour laisser tomber pour autant ! En effet, nombre d’universités anglo-saxonnes proposent des formations spéciales de renforcement, en un an, mêlant cours d’anglais intensifs et cours dans la majeure que vous avez choisi.