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Etudier en France

Pionnière des droits de l’homme, la France est l’un des rares pays au monde à avoir une histoire si riche tant dans le domaine culturel, scientifique que de l’éducation. On doit des inventions comme le vaccin, la cinématographie, la machine à calculer, la carte à puce à des inventeurs français. Également seul pays au monde à exercer sa souveraineté sur des territoires répartis sur trois océans et deux continents, elle joue un important rôle géopolitique au niveau mondial et grâce à son réseau d’alliés reparti presque partout sur le globe elle est partie prenante dans la résolution de conflits presque partout dans le monde. Au-delà du leadership diplomatique, elle a su s’imposer comme première destination touristique au monde en attirant les plus grandes marques de luxes, abriter les plus grands festivals et développer un patrimoine artistique hors du commun. Elle est également la première destination en termes de mobilité des internationaux dans l’espace Schengen. Aussi pour répondre aux besoins elle a su investir dans une éducation de qualité en mettant en place une politique de formation en partenariat avec le secteur privé. Ce qui en fait l’une des formations les plus dynamique et performante au monde. Il n'est pas rare de voir les écoles françaises se positionner dans les tops 50 mondiaux. D’ailleurs, sur 10 écoles classées par le FT, 3 sont françaises. Toute cette dynamique est soutenue par un dispositif social mis à la dispositif de tous les étudiants nationaux comme internationaux.

Admission

Vous souhaitez faire une admission dans l’enseignement supérieur français ? Si oui, il est important de prendre des informations sur le coût de vie de la ville de votre choix, le dynamisme au niveau de la chambre de commerce, les offres de formations et les frais de scolarité de l’école de votre choix… Les universités françaises sont passées à 2 770 euros au lieu de 170 euros pour une année de licence et 3 770 euros à la place de 243 euros pour un master. Pour le moment, cette décision n’est pas suivie par toutes les universités, raison pour laquelle il est très important de prendre le minimum d’information sur l’université avant de postuler. Par ailleurs, la France étant partie prenante de l’accord de Bologne, elle applique depuis plusieurs années le système LMD qui admet des admissions par cycles qui sont :

Premier cycle :
Vous devez être titulaire d'un diplôme de fin d'études secondaires pour une admission en première année. Par ailleurs, il est possible pour vous de candidater sous réserve de validation de votre diplôme de fin d’étude secondaire. Aussi, si vous avez fait des études post-bac, il vous faudra les justifier toutes pour une admission en année supérieure après validation de l’année précédente. Il existe deux modes d’admissions :
  • Ecole publique
  • L’admission pour les postulants en 1re année de Licence (DAP), vous avez le choix de l’option sur le portail campus France, si votre pays à un centre CEF ou sur parcoursup.
  • Ecole privée
  • Il faudra vous rapprocher de l’école de votre choix afin de connaître les conditions d’admission. Mais généralement elle se fait sur deux conditions essentielles, l’étude de dossiers et entretien de motivation. Certaines écoles pourraient éventuellement demander des tests écrits.

Deuxième cycle
Pour prétendre au master, vous devez avoir validé 180 crédits. La validation sous-entend avoir également votre attestation d’admission disponible. Pour une admission en Master, vous avez également deux possibilités :
  • Ecole publique
  • L’admission pour les postulants pour un programme de formation post-bac +1 (hors DAP), se fait directement sur l’application Campus France si vous votre pays dispose d’un CEF. Pour ceux dont les pays ne sont pas membres du réseau CEF, ils pourront postuler directement auprès des universités de leur choix.
  • Ecole privée
  • Il faudra vous rapprocher de l’école de votre choix afin de connaître les conditions d’admission. Mais généralement elle se fait sur deux conditions essentielles, l’étude de dossiers et entretien de motivation. Certaines écoles pourraient éventuellement demander des tests écrits (TAGEMAGE, GMAT) et preuve de niveau de langue anglaise (TOEIC, GRE, IELTS) et de Français pour dont la langue officielle ne serait pas le français...

Troisième cycle
Suivre des études en doctorat, est une tâche fastidieuse qui demande beaucoup de volonté et de disponibilité. Raison pour laquelle les universités sont très méticuleuses dans les critères de sélection des candidats admis pour cette formation. IL vous faudra pour cela, présenter un projet de mémoire assez attrayant pour capter un professeur (docteur) de l’université de votre choix en France. Il faudra que ce dernier fasse une lettre écrite de son accord de vous suivre, également avoir une recommandation de votre doyen de faculté ou département ainsi que la direction de l’université afin de faciliter au mieux votre acceptation.
Les écoles privées, elles offrent la possibilité aux étudiants qui souhaitent faire une formation supplémentaire ou avoir une qualification complémentaire de se tourner vers les MS. Bien vrai que les MS n’équivalent en rien au nombre d’années du doctorat, ils sont une alternative qui permet aux étudiants de bénéficier d’une spécialisation sectorielle orientée, avec une expertise avérée auprès des professionnels du métier de leur choix.

  • NB : toute admission pour des études en France devra passer nécessairement auprès des instances campus France, si votre pays dispose d’un centre CEF.

Visa étudiant

Les étudiants non-européens devront obtenir un visa d'étudiant s'ils ont l'intention de rester en France pendant plus de trois mois. Les documents nécessaires pour le démarrage du processus de demande de visa comprennent :

  • Passeport valide
  • Demande dûment rempli
  • Photo d'identité
  • Lettre d'admission à l'université ou école privée
  • Réservation de billet d'avion
  • Preuve de disponibilité des ressources financières.
  • Documents académiques de votre pays d’origine
  • Justificatif de logement
NB : à votre départ n’oubliez pas de faire vos vaccins :
  • Rougeole
  • Coqueluche
  • Diphtérie, tétanos, poliomyélite (DTP
  • BCG (tuberculose)

Logement et Santé

Se loger en France ! Se loger en France ! Un vrai casse-tête chinois, mais pas de panique, il existe des possibilités pour les étudiants internationaux à moindre coût. Les premiers sont bien évidemment, les CROUS qui sont à très moindre coût avec des prix autour de 170 euros en moyenne. En second lieu, les foyers de jeunes qui sont très abordables, mais idéal pour un court séjour, le temps pour vous de poser vos valises ailleurs. En troisième lieu, vous avez les chambres chez le particulier, vous serez entouré d’une famille, ce qui permettra de vous intégrer facilement. Seul bémol, il vous faudra respecter les règles imposées par la famille d’accueil. En dernier, les résidences étudiantes, elles sont privatives et vous permettre d’avoir un petit coin à vous et vous oblige à être très vite autonome. Ce qui n’est pas un mal en soi. Les prix des logements en France sont en moyenne de 400 euros et peuvent grimper à 700 euros dans les grandes villes. Heureusement que l’état français apporte un soutien considérable à travers APL, ce qui permet de réduire de manière significative au final les frais locatifs.

Transport et Nourriture

Seul bémol, il vous faudra respecter les règles imposées par la famille d’accueil. Vous pourrez prévoir un budget d’environ 70 euros mensuel pour vos déplacements. Par ailleurs, si vous ne supportez pas la promiscuité, vous pouvez opter pour un moyen de transport privé « UBER ».

Job étudiants

La loi française autorise les étudiants étrangers à travailler, à titre accessoire, 964 heures dans l'année, soit l’équivalent de 60 % de la durée légale du temps de travail. Il ne peut s'agir que d'un salaire d'appoint. Lorsque l’on travaille en France, étudiant ou pas, un salaire minimum légal est garanti. Il est couramment appelé le SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance). Il s’élève à 9,88 euros bruts par heure au 1er janvier 2018. Ce salaire est brut ; il faut en déduire les cotisations sociales obligatoires (environ 20 %) pour savoir ce que vous gagnez réellement à la fin, soit 7,61€ / heure. Si vous travaillez 10 heures par semaine au salaire minimum, vous gagnerez environ 76 euros nets.

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